Depuis le début des travaux, nous avions prévu de mettre un poêle à bois ou un insert de cheminée dans cette pièce. Pour ça, on avait réservé un boisseau en terre cuite lors du coulage du plancher d'étage, et ensuite bâti la cheminée qui ressort non loin du faîtage.
Je voulais qu'on s'occupe de cette cheminée avant d'attaquer le placo et l'isolation de cette pièce, car je vais faire mes placards et étagères de part et d'autre de cette cheminée.
Nous avons fait faire l'étude et le montage par Leroy Merlin, enfin par une entreprise prestataire de LM. Dans un premier temps, nous avons choisi l'appareil en magasin sur catalogue, et ensuite l'entreprise de montage est venue voir le boulot qu'il y avait à effectuer pour le montage, et nous a fait un devis qu'on a accepté, et 2 mois plus tard le montage est terminé.
Dans l'ensemble, ça s'est bien passé, à part qu'il a fallu que je secoue les puces de Mr Leroy Merlin pour que ma commande soit livrée à temps...
Le matos :
Le tubage rigide en 200mm et les fournitures |
L'insert - 240kg le colis. |
Les livreurs étaient que 2 bonhommes, mal équipés... On a du passer des sangles dessous la palette de l'insert et le transporter à 3... Bref, heureusement qu'il ne fallait pas le monter à l'étage...
L'insert choisi, est de marque INVICTA, modèle Symphonie 1000. Il fait 14kW de puissance nominale et a la particularité de faire 1 mètre de large.
Lundi Matin, l'entreprise chargée d'effectuer le montage commence le montage :
L'insert est posé sur une chaise métallique, elle même fixée au sol.
fixation tubage |
isolation |
On peut voir sous l'insert, l'arrivée d'air. Ils ont créé un caisson afin que l'air frais ne se mélange pas à l'air de convection. L'air frais sortira en façade sous la porte de l'insert. L'entrée d'air principale de l'insert se trouvant justement à cet endroit, pas de courant d'air frais dans la pièce.
après 2 journées de boulot pour les 2 monteurs, fini ! |
les bandes laissent à désirer, mais pas grave, je referai |
première flambée, démarrage au pas |
Ce matin, les enduits étant secs, j'ai démarré l'insert, à faible puissance dans un 1er temps, pendant au moins 2 heures, pour que les matériaux se dilatent tranquillement. J'ai ensuite monté la puissance tout au long de la journée, mais sans aller à la puissance maximum encore. Ça permet de finir de faire cuire la peinture de l'insert. Il s'est dégagé un peu de fumée à cause de ce phénomène.
Lors de la montée en puissance, le récupérateur de chaleur s'est bien mis en route. Tout fonctionne donc à merveille. Demain je refais la même chose, et après demain puissance maximale pour ne plus utiliser les convecteurs nucléaires...
J'ai préféré laisser faire des pros sur cette partie car même si c'est pas sorcier comme montage, juridiquement, en cas de problème, c'est très délicat. Au moins, je suis protégé de ce côté là.
Étape suivante, le plafond de la salle à manger
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire